Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

banniere_finale.jpg

17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 02:35

AmpouleGrille

Partager cet article
Repost0
13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 12:00

 

Précédemment dans Super Patate : Super Patate - pages 1, 2 et 3

 

SP_04.jpg

SP_05.jpg

Partager cet article
Repost0
10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 12:00

Nouvelle étape dans mon rattrapage des RPG japs, après un Tales of Vesperia très moyen :

 

 

eternal_sonata_europe.jpg

 

 

C'est un jeu auquel j'attendais depuis longtemps de jouer, je ne sais pas trop pourquoi , ni pourquoi j'ai autant tardé... Mais voilà, c'est fait :D

 

Eternal Sonata est un jeu sorti en 2007 sur XBox 360 et PS3, développé par Tri-Crescendo, qui avaient déjà oeuvré sur Baten Kaitos, le meilleur RPG GameCube. J'ai joué à la version XBox.

 

     Je ne compte pas faire un face à face, mais ce qui fait du bien quand on passe de Tales of Vesperia à Eternal Sonata, c'est que dès la scène d'introduction on sait qu'on aura droit à un (vrai) scénario. La fille sur la jaquette est de dos à une falaise et se "motive" à se jeter dans le vide pour le bien d'un homme, puis passe à l'acte. Le ton est donné, Eternal Sonata est loin d'être un jeu joyeux.

Son histoire et son monde sont basés sur la vie (et la mort) de Chopin.

 

 

 

 

 

Mini cours d'histoire de l'art : Frédéric François Chopin, compagnon de Georges Sand pendant 11 ans, etait un pianiste polonais de génie mort de la tuberculose à Paris en 1849.

 

     Durant les dernières heures de sa vie, Chopin rêve d'un monde étrangement lié à sa musique et aux événements marquant de sa vie. Le jeu est d'ailleurs découpé en 7 chapitres ayant chacun pour thème l'un de ces événements et débutant par un court cours (huhu!) sur la vie de chopin. Ca peut faire peur, mais ces petits passages de diapos photos sont très intéressants.

trstx3285

     La quête principale du jeu est surtout un prétexte pour mettre en avant les personnages et leurs intérrogations. Les deux premiers mis en avant sont Chopin et Polka. Le premier est condamné à vivre dans son rêve ou à mourir dans la réalité, et la seconde, atteinte d'une maladie incurrable, est vouée à une mort prématurée et est rejetée par tous les autres habitants du monde d'Eternal Sonata.

    Chaque lieu et personnage du rêve de Chopin a un nom en rapport avec la musique. En vrac, on trouve des personnages nommés Polka, Crescendo, Dolce, Allegreto, Piccolo (Beat en VO), Harpe ou Salsa, et des lieux comme les villes de Forte, Ritardando et Baroque.
     Le monde n'est pas très grand, mais il n'y a pas de mapmonde pour se déplacer d'un lieu à l'autre. On évolue de façon plus réaliste, à a façon d'un jeu d'aventure, chaque ville est reliée à une autre par une route que l'on devra suivre. C'est bien mieux pour l'immersion, mais malheureusement on est face à un monde très fermé. Les cartes couloirs repprochées à Final Fantasy 13 sont également présentes dans Eternal Sonata. C'est moins prononcé, les claustrophobes vivront mieux l'aventure que dans le dernier FF, mais lorsque l'on arrive dans un nouveau lieu, on n'a généralement qu'à chercher la sortie en combattant quelques monstres avant de passer au lieu suivant. Il y a parfois quelques énigmes à résoudre, mais qui à chaque fois se résument à un ou deux mini labyrinthes. Rien de bien passionant de ce côté là.

      Comptez entre 20 et 25 heures pour venir à bout du jeu, mouaiiif.


     Heureusement le système de combat est très bon. Il allie à la fois le tour par tour et le temps réel. Pour faire simple, pour chaque personnage qui doit jouer, vous avez un certain temps pour exécuter vos actions. Qui plus est, les attaques de vos personnages et la forme des ennemis varient en fonction de l'éclairage. Par exemple, si Polka se trouve dans la lumière, elle pourra soigner ses coéquipiers, alors que si elle se trouve dans l'ombre elle aura accès uniquement à des techniques d'attaque. C'est très intéressant car cela force à bien placer ses personnages à chaque tour. De même, si un ennemi vous attaque de face, vous aurez la possibilité de vous protéger et/ou de contre attaquer en appuyant au bon moment sur A ou B (X ou O sur PS3 je suppose). Il faut donc veiller à toujours faire face à ses adversaires. Enfin, il y a également un système de combo : le compteur de combo augmente à chaque attaque attaque de base d'un personnage, et constitue des paliers (4, 8, 12, 16, 24 et 32 coups). L'effet de attaque spéciale/magie augmente en foncion des paliers atteints, puis remet le compteur à 0. Les personnages gagnent de l'expérience à chaque combat (classique) mais il existe également un niveau de groupe - Il y en a 5 en tout - et chaque niveau change les conditions de combat. Par exemple, au niveau 1, le compteur de temps du tour s'arrête tant que votre personnage est immobile,  et vous disposez de 3secondes. Au niveau 4, vous avez 1seconde de préparation, puis de 4 secondes de tour qui s'écoulent sans s'arrêter. C'est excellent car ça permet de se familiariser petit à petit avec le système de combat, tout en relançant son intérêt à intervalles réguliers.

 

 


Le deuxième combat permet de voir le système de défense, et le changement de forme des monstres.

 

Enfin, chose appréciable (surtout après le ratage Tales of Vesperia) : la difficulté des combats est bien gérée. C'est même très mathématique. Si vous vous battez contre tous les ennemis que vous rencontrez entre deux bosses, vous n'aurez aucun problême. Si au contraire vous courez comme un dératé d'une carte à l'autre sans combattre, vous aurez surement besoin de revenir en arrière afin de gagner deux ou trois niveaux (qui se gagnent rapidement ceci dit) et d'être moins ridicule face au boss.



     Les musiques du jeu sont excellentes, dans la lignée de celles de Baten Kaitos. Rien à redire, si ce n'est qu'on aurait apprécié que les compositions de Chopin soient plus présentes. On n'y a droit que lors des transitions entre les chapitres (les petits cours sur la vie du monsieur), c'est un peu dommage.

Côté doublages, rien n'est à jeter. Déjà, très bon point qui est trop rare dans les jeux, on a le choix de la langue (ici anglais ou japonais). Je n'ai pas entendu les doublages anglais en dehors de la vidéo ci-dessus, mais les doublages japonais sont excellents (c'est pas vraiment une surprise).

Les textes sont traduits en français, mais j'ai pu constater une ou deux coquilles. Rien de bien grave.

 

 

 


  Sans déconner, on dirait pas du Baten Kaitos ?

 

 

     Enfin, d'un point de vue graphisme, on ne peut pas repprocher grand chose à Eternal Sonata. Certes, techniquement ce n'est pas exeptionnel (le jeu n'est plus tout jeune) mais les environnements sont enchanteurs et le chara design est juste excellent !

trstx3263.jpg trstx3261

 

Je regrette quand même que les monstres ont vite tendance à se répéter. Un peu comme dans les castlevania, au bout d'un moment dans les nouveaux endroits on retrouve les même monstres qu'avant mais un peu plus fort et avec des couleurs différentes. Dommage.

 

 

Bilan

     Eternal Sonata fait un peu figure d'ovni. Il est très loin des RPG aux mondes heroic fantasy qu'on a l'habitude de voir. C'est un jeu bourré de qualités, et il serait dommage de passer à côté.

Il ne fait malheureusement pas l'impasse sur quelques défauts qui peuvent vite faire décrocher, en parituclier les maps-couloir.

 

 

Note finale

Fez Fez Fez Fez Fez Fez Fez7 Fez vide Fez vide Fez vide

 

Prochaine étape : Valkyria Chronicles sur PS3.

Partager cet article
Repost0
6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 12:00

SP 01

 

SP 01

 

  SP_03.jpg

 

---- Flash infos ---

J'ai ajouté dans les liens la possibilité de s'abonner au flux RSS du blog. C'est normalement réservé aux utilisateurs premium d'Over-blog mais j'ai trouvé un compromis.

Pour vous abonner, cliquez sur le lien "flux RSS" puis sur "view feed xml". La page qui s'affichera alors devrait vous permettre de vous abonner.

Partager cet article
Repost0
3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 18:00

Ma résolution pour 2011 était de rattraper mon retard en RPG (Role Playing Game pour les infirmes) japonais sur la génération de consoles actuelle. Faut dire que Final Fantasy XIII et Star Ocean The Last Hope m'ont convaincu pendant un temps qu'il fallait oublier ce genre de jeux qui fait pourtant partie de mes favoris.

 

Après avoir fait un rapide tour d'horizon des jeux existant, j'ai commencé par Tales of Vesperia, de Namco-Bandai. Le jeu est sorti en juin 2009 dans nos vertes contrées, et est le premier opus de la série des Tales of sorti sur consoles HD. Oui, ça fait plus d'un an et demi qu'il est sorti, je suis à la bourre, mais je le vis pas trop mal, merci de vous en inquiéter.

 http://www.manga-news.com/public/images/jeuxvideo/tales-of-vesperia-xbox360.jpg

 

Alors, Tales of Vesperia qu'est-ce que ça vaut j'en ai pensé ?

Parce que ça fait vachement plus pro, je terminerai en donnant une note finale.

La note sera attribuée selon un barême allant jusqu'à 10 fez parce que

Matt Smith fez

"Fezzes are cool".

 

 

 

      Alors, Tales of Vesperia c'est l'histoire d'un monde que l'on devra sauver d'une terrible menace tout en jonglant entre d'un côté un empire corrompu qui nous pourchasse, et tout une troupe de guildes dans la détresse de l'autre. Il n'y a clairement rien d'original là dedans, et autant le dire tout de suite, j'ai parfois eu un peu l'impression d'être pris pour un con.

Je m'explique. Les RPG Japonais ont toujours eu la réputation (à raison) de proposer des aventures longues, qui peuvent parfois nécessiter jusqu'à plus de 60 (voire 100) heures de jeu, sans compter toutes les quêtes annexes. Les scénaristes de Tales of Vesperia ont bien compris ça, puisque, même si ce n'est pas extraordinaire, l'aventure demandera facilement 30h de votre temps. On est loin des 60 mais c'est mieux que les 8h moyennes pour un jeu standard actuel (hors RPG). Pour ma part, le compteur du jeu affichait 34h46 à la sauvegarde après le générique de fin. SAUF QUE ! Non seulement le scénario de ToV n'est pas original une demi seconde, mais en plus de ça, pour gonfler la durée de vie, on a droit à de très nombreux passages inutiles, dont la seule utilité est le lancement d'un dialogue plus ou moins intéressant sous forme de cinématique... pendant une nuit à l'auberge d'une ville X ou Y. On vous demandera même parfois de vous rendre dans plusieurs villes à des moments peu opportuns, voire carrément pas crédibles :

 

 "   Yuri : - Oh non ! Le gros monstre moche qui veut détruire le monde et dont on voulait éviter la réapparition est réapparu suite à un malencontreux revirement scénaristique  absolument inattendu ! Vite, allons le tuer tant qu'il n'a pas récupéré toute sa puissance.

      Rita :  - Non, on devrait plutôt passer à Halure, Dahngrest et Heliord.

      Yuri :  - Hein ? Pourquoi ?

      Rita : - Il faut qu'on achète du sirop pour la toux, de la crème solaire, des chips et des carottes.

     -Karol : - Et puis ça serait bien qu'on passe une nuit à l'auberge de chaque ville, aussi, parce que ça fait bien une heure de jeu qu'on ne l'a pas fait.

     Yuri : - Vous m'avez convaincu, allons-y !"

 

    Je caricature, mais certains moments ressemblent vraiment à ça... Et c'est sans compter que le scénario ne commence réellement qu'au bout de 18-20h de jeu. Oui oui. On peut lire ça et là qu'il faut 10h de jeu avant le départ de l'aventure, que nenni mes amis ! (ouais, des fois, j'utilise du langage djeunz)

Les prémices du début du départ de la véritable quête du jeu ne me sont apparus qu'une fois la 18è heure de jeu bien entammée. Avant cela, on se contente de parcourir le monde en voyageant de ville en ville et en accomplissant des petites quêtes permettant d'introduire les personnages importants du jeu (étonnamment c'est la partie du jeu qui m'a le plus intéressé).

 

    Heureusement pour lui, ToV a réussi à me maintenir en jeu parce que :

          1 - J'avais rien d'autre à faire

          2 - Les personnages sont  attachants, et dans ma grande naïveté j'espérais que certains soient un peu exploités afin d'aboutir à un vrai scénario (mais finalement non).

 

 

Pour que ToV puisse est considéré comme un bon jeu de rôle, il avait donc plutôt intérêt à assurer côté musique, système de combat, et éventuellement graphismes.

 

 

Niveau musique, c'est plutôt bon. Je ne pense pas me rappeler encore des musiques d'ici deux semaines, mais elles posent très bien l'ambiance. Il y clairement quelques thèmes qui sortent du lot, sans non plus atteindre le niveau des références du genre... Je ne parviens pas à retrouver l'un de ces morceaux, mais voici quand même un petit exemple de ce que propose Tales of Vesperia :

 


 

 

 

En dehors des musiques, la bande son est soignée. Les bruitages sont honnêtes, tout comme les doublages (malheureusement en anglais, laisser les originaux en japonais aurait été préférable) qui sont cependant assez inégaux. Ceci dit, vu la quantité de dialogues doublés (je l'ai dit plus haut : beaucoup de dialogues pour gonfler artificiellement la durée de vie) c'est déjà un gros effort de tout doubler et de refaire intégralement ces doublages en anglais.

 

En ce qui concerne les graphismes, voyez par vous même :

 

tales-of-vesperia-playstation-3-ps3-013

 

Ca rend vraiment bien en screen ;)

Dans le jeu aussi, je dois bien l'avouer. Si d'un point de vu technique c'est pas Uncharted 2 (les textures sont simplistes et lors de plans rapprochés on voit clairement que les personnages manquent de rondeurs), mais c'est très joli, grâce à des décors bien animés et des effets de profondeurs très bien gérés. C'est bien simple, au début du jeu j'ai cru assister à une scène animée.

Oui parce que l'une des particularité des Tales of - depuis Tales of Symphonia sur GameCube en tout cas - c'est de proposer des séquences en dessins animés (Final Fantasy avait ses images de snthèses, Tales of a ses animations).

Bonne surprise donc, c'était bien le jeu qui démarrait. En revanche - et c'est le comble - les scènes en animé sont juste horribles. Ca doit être la première fois que je vois un jeu dont les graphismes sont plus beaux que les cinématiques. Sans rire, entre les personnages mal dessinés (Estelle surtout) et les décors en images de synthèses ratées, y'a rien pour rattraper... Pourtant (et heureusement) ces scènes sont courtes et très rares.

 

Un petit aperçu (attention les yeux).

Ceci est un passage clé du "scénario", si vous comptez jouer à ToV et préserver la "surprise", passez à la suite 

 


 

 

 

 

Et on va terminer par ce qui est pour moi le point fort du jeu, son seul véritable intérêt par rapport aux "vieux" RPG : son système de combat.

C'est l'autre particularité des Tales of. Les combats se déroulent en temps réel dans une arène. On a une équipe de 4 personnages, on en dirige un seul mais on peut influencer le comportement des autres via le menu. L'intelligence artificielle est d'ailleurs assez réussie, les personnages faisant généralement les bons choix... Tant que vous n'ètes pas mort. Un personnage qui se retrouve seul face à une horde d'ennemis mettra un certain temps à réaliser qu'il faudrait peut être songer à ranimer ses coéquipiers...

Cependant les combats sont très intéressants. Super dynamiques, assez techniques car demandant de maîtriser parfaitement les différentes subtilités entre les types d'attaques, d'attaques spéciales, et la défense, tout en gérant ses objets le mieux possible.

MAIS ! Parce qu'il y a un gros mais qui a faillit me faire arrêter le jeu très vite : la difficulté est extrêmement mal gérée. En gros :

 

(attention, dessin très très moche)

Afin de respecter la vie privée des monstres du jeu, ceux du dessin sont inventés :

Tales-of-Vesperia-Battle.jpg

 

La difficulté des bosses est juste abusay ! Franchement, autant j'aime pas la tendance qu'ont les jeux actuels à se simplifier au maximum (la notion de boss maintenant n'est plus qu'une question de taille...), autant là c'est du grand n'importe quoi. Et encore, s'ils étaient juste durs, ça passerait. Mais là en plus, le monstre peut vous terminer en moins de 10 secondes, il suffit juste qu'il enchaine les bonnes attaques aux bons moments et vous n'avez même pas le temps de vous relever pour vous soigner. Et c'est sans compter le fait qu'à chaque nouvelle tentative il faut se retaper le dialogue d'intro du combat... Epuisant !

 

 

 

 

 

Bilan

     Au final, j'ai dit beaucoup de mal sur ce Tales of Vesperia, mais ses défauts peuvent se résumer très rapidement (j'aurais peut être du me contenter de ça en fait) : scénario extrêmement classique, cinématiques animées ratées, difficulté mal gérée. Sur tous les autres points, le jeu fait un sans faute, et si on ne peut rien faire pour le scénario et les cinématiques, on peut toujours passer le jeu en facile (mais alors il n'y a plus aucun challenge...). Tales of Vesperia s'apprécie pour la richesse de ses combats et pour son ambiance.

 

 

Note finale :

  Fez.png Fez.png Fez.png Fez.png Fez.png Fez.png Fez-off Fez-off Fez-off Fez-off

 

 

 

 

 

Petite précision, le jeu est disponible sur XBox 360 et PS3. Pour ma part j'ai joué à la version XBox.

 

Prochaines étapes : Eternal Sonata (je l'ai déjà commencé en fait), Lost Odyssey, Blue Dragon et Valkyria Chronicles qui est super dur à trouver. Pff ça va me prendre un an de tout faire Oo.

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 12:00

Parce que peut être un jour des gens qui ne me connaissent pas passeront par ici (mais j'ai sans doute trop d'ambition), et parce qu'il serait bien rustre de ne pas me présenter, voici en gros à quoi je ressemble :

autoportrait

Bon, je dois avouer que mon double dessiné est une version 2.0 de la réalité, en vrai c'est encore pire que ça.




Bien entendu, tout ça n'était qu'un prétexte pour dessiner et publier une (demi) bite.

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 01:57

Strip-001-final-p1 Strip-001-final-p1 Strip-001-final-p1 Strip-001-final-p1 Strip-001-final-p1

Bien entendu, Dieu ne m'a pas donné pour mission de sauver le royaume du sms de la déchéance, mais soyons réalistes, c'est seulement parce qu'il n'a pas osé.
Cependant, après m'être enfin mis à Twitter, il fallait bien que je fasse un blog.

Alors heu... Voilà ma nouvelle maison. C'est pas très grand, c'est pas très beau, c'est pas très propre, mais c'est pas cher. Reste plus qu'à meubler.

Partager cet article
Repost0